Une tempête, un ouragan, un maelström : l’article du Monde sur le trauma lié au déménagement dont je comptais m’inspirer ici a disparu dans la tourmente. Reste mon expérience et franchement je ne la souhaite pas à mon pire ennemi ! Ce blog ne sera donc plus écrit de Paris mais de Marseille – ce qui ne change pas grand-chose mais quand même.
Mais avant les les derniers clichés (dans les deux sens du terme ! ) de ma dernière semaine parisienne.
Piaf et des dattes fraîches rue de Belleville
Le café « Chacun fait… » rue de la Villette avec vue sur l’irremplaçable épicerie de Momo !
Thé à la menthe tout près du Parc de Belleville.
Et puis pour entrer dans ma nouvelle ville, ouvrir les persiennes, celles d’une rue du 5ème arrondissement de Marseille et celles de Picasso, « Dormeuse aux persiennes », 1936) au Musée Cantini dans la très belle exposition « Le rêve ».
Et enfin un petite histoire que me raconte Jean Jacques d’Aietti, le plombier, à mon premier jour marseillais. J’étais un matin de bonne heure chez un client qui avait un problème de chauffage. Il m’invite à boire un petit café. Je m’asseois à côté d’un homme. Je dis bonjour. Il tourne sa tête vers moi : c’était Montand ! Tout frissonnant, je lui ai demandé un autographe et il m’a écrit sur un bout de papier « Au petit plombier très sympa du matin… » Je l’ai encadré et affiché chez moi.