Dans Libé du 9 octobre, un portrait dense de Steve Jobs par Walter Isaacson qui signe une biographie du fondateur d’Apple à paraître chez Lattès en novembre : « J’ai décidé, écrit l’ancien directeur de la direction de Time magazine, ex-PDG de CNN, de raconter son histoire comme une étude sur la créativité ». C’est un angle alléchant. Extrait du portrait : « Il pensait qu’il rendait service aux gens : Ils sont occupés à faire faire ce qu’ils font le mieux possible, et ils veulent que nous créions ce qui se fait de mieux. Leurs vies sont compliquées ; ils ont autre chose à faire qu’essayer de comprendre comment intégrer leurs ordis et périphériques. » Voilà !
Steve Jobs n’était sûrement pas un ange mais devant son injonction à « rester affamés » alors qu’il était dévoré par le cancer on dit Respect.